Il existe des solutions simples et efficaces pour éviter de se faire attaque sur Internet et les réseaux sociaux sans réagir. Nous vous invitons à découvrir nos formations en cybercriminalité et cybersécurité.
Contact
De nos jours, il est fréquent que la rencontre en ligne précède la rencontre réelle. Par exemple, si un ami nous parle de quelqu’un, notre premier réflexe est de chercher cet individu sur Google. Autre cas habituel, avant un entretien d’embauche, il est fréquent d’aller sur LinkedIn afin de se renseigner sur la personne avec qui nous nous entretiendrons. Près d’un recruteur sur deux suivait déjà cette logique il y a cinq ans. Le développement des réseaux socio-numériques professionnels ces dernières années a probablement largement amplifié ce phénomène.
Autrement dit la place prise par notre « moi virtuel », est de plus en plus prédominante. Notre avatar est souvent pionnier dans la rencontre avec autrui, et notre identité numérique devient déterminante dans notre vie professionnelle ou sociale.
Revenons tout d’abord sur la définition de l’identité numérique.
Dans un précédent article nous avions considéré que l’identité numérique était composées de plusieurs strates : la e-réputation, les publications, les activités, les logins.
Une récente étude d’une ONG polonaise propose une définition en seulement 3 couches : ce que nous partageons, ce que notre comportement dit, ce que la machine et les algorithmes pensent de nous.
Selon ce travail nous ne pourrions maîtriser qu’une seule couche de notre identité : ce que nous partageons. La majorité de notre identité numérique nous serait donc totalement incontrôlable.
Pourtant nous avons un vrai enjeu stratégique à maîtriser celle-ci. Elle peut nous permettre de trouver un emploi, agrandir notre cercle social ou trouver l’amour.
.Suite de l'article sur la réputation en ligne
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.