Pacta 360 aide les dirigeants à anticiper, détecter et neutraliser les menaces numériques grâce à une approche “cyberdétective” qui combine IA, no-code et automatisation, de l’audit à la réponse à incident.
l’IA change la donne… pour les attaquants comme pour les défenseurs
L’intelligence artificielle s’est diffusée dans tous les métiers — santé, finance, informatique — et la cybersécurité n’y échappe pas. Les entreprises s’en servent pour accélérer la détection et la remédiation ; les cybercriminels, eux, l’exploitent pour industrialiser le hameçonnage ciblé, produire des deepfakes convaincants et piloter des malwares capables de muter pour éviter les défenses. Cette course à l’automatisation impose une posture de sécurité plus proactive, plus mesurée et plus rapide, que vous pourrez adopter avec l’ensemble de nos services.
L’approche pacta 360 : la méthode “cyberdétective” appliquée à l’entreprise
Ancien détective privé spécialisé en investigations informatiques, Alain Stevens a bâti Pacta 360 sur une logique d’enquête : constituer les faits, comprendre les modes opératoires, automatiser la surveillance, et préparer la riposte. Concrètement, l’offre s’articule autour de quatre piliers complémentaires. Alors comment se protéger contre les cyber-menaces ?
1) évaluer les risques et fermer les portes ouvertes
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Cartographie des actifs et des processus : données sensibles, comptes à privilèges, chaînes de paiement, exposition publique.
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Tests d’exposition et de configuration : recherche automatisée de failles récurrentes (mots de passe faibles, services oubliés, partages non maîtrisés).
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Modélisation des scénarios d’attaque réalistes (fraude au virement, compromission de messagerie, rançongiciel, usurpation vocale).
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Tableau de bord de priorisation : correction guidée par l’impact métier, pas par la mode du moment.
2) détecter plus vite : IA et corrélations utiles
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Veille externe automatisée : surveillance de domaines, mentions marque, fuites d’identifiants, dark web, réutilisation de logos pour campagnes de phishing, services en ligne de blanchiment d’argent .
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Détection comportementale : identification d’anomalies sur comptes, accès et transferts (pics inhabituels, géolocalisations incohérentes). Nous pouvons pour cela mettre en place des outils basés sur l’intelligence artificielle.
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Filtrage renforcé des e-mails : scoring linguistique des messages, détection des faux noms de domaine, pièces jointes à risque.
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Signaux d’alerte actionnables : moins d’alertes bruyantes, plus d’indicateurs étayés et exploitables par les équipes.
3) automatiser sans complexité : le no-code au service de la défense
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Playbooks de réponse sans développement lourd : isolation d’un poste, réinitialisation d’un compte, blocage de domaine, notification dirigeant.
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Orchestration d’outils existants (EDR, messagerie, pare-feu, sauvegardes) via des workflows no-code reliés à des règles claires.
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Contrôles continus : scans réguliers, revues de droits, tests de restauration, vérifications d’authentification multifacteur.
4) durcir l’humain et le processus
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Simulations de phishing adaptées au contexte (pas de campagnes génériques, mais des scénarios proches du quotidien).
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Protocoles anti-fraude au virement : procédure de double validation hors bande, mots de contrôle, délais de refroidissement.
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Guide de vérification des voix pour contrer les usurpations vocales (mots de passe vocaux, rappel via canal secondaire, signe faible à repérer).
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Formations ciblées : direction (risques et décisions), fonctions finances/achats (fraude), équipes IT (opérations et automatisation), collaborateurs (réflexes utiles). Voir par exemple les mots-clés utilisés dans cette rubrique.
Exemples de menaces traitées et contre-mesures proposées
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phishing ultra-personnalisé : détection par modèle linguistique, bannettes “soupçon” dans la messagerie, validation d’URL en un clic, campagne d’entraînement trimestrielle.
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deepfakes vocaux : procédure d’authentification hors voix pour toute demande financière urgente, code partagé périodiquement renouvelé, journal des tentatives.
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brute force intelligentes : MFA obligé, verrouillage adaptatif, politique de mots de passe guidée par gestionnaire et surveillance des tentatives distribuées.
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crime-as-a-service : veille des kits en circulation, blocage préventif d’infra malveillante, listes dynamiques de domaines et IP à risque.
Ce que l’entreprise reçoit, concrètement
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Plan d’amélioration en 90 jours avec jalons, propriétaires et indicateurs.
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Playbooks no-code prêts à l’emploi pour les incidents fréquents.
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Tableau de bord de risques et reporting direction synthétique.
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Kits pédagogiques (supports, scripts de vérification, procédures anti-fraude).
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Exercices réguliers : tests de restauration, simulations de crise, revues d’accès.
Indicateurs suivis (kpi)
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Délai moyen de détection et de confinement.
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Taux de clic aux simulations de phishing et progression par service.
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Couverture MFA et réduction des comptes à privilèges.
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Taux de correction des vulnérabilités prioritaires dans les délais.
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Temps de reprise d’activité et réussite des restaurations testées.
Pourquoi cette approche fonctionne
Parce qu’elle combine la rigueur de l’enquête (faits, preuves, scénarios) et la vitesse de l’automatisation (détection, tri, réaction). Parce qu’elle priorise le risque métier avant la technologie. Et parce qu’elle outille les équipes avec des procédures simples, réutilisables et mesurables.

Vous souhaitez transformer votre sécurité en avantage opérationnel et dormir plus sereinement ? Contactez Pacta 360 pour un diagnostic ciblé et la mise en place rapide de workflows de défense adaptés à votre activité. Un premier échange permet d’identifier vos priorités et de lancer un plan d’actions concret sous 90 jours.